Christine Kelly, la femme aux multi visages
Christine Kelly, qui a le spectacle CNews "Face à l'Info" avec Eric Zemmour, a obtenu l'un des chroniqueurs les plus remarquables de France. Ancienne personnalité du CSA, surveillante et dirigeante d'établissements, elle recueille les éloges et centre les mépris.
Elle a immédiatement averti: "Vous verrez, je suis glissante!" Ce qui, pour dessiner la représentation, n'est pas vraiment captivant. Tricky peut-être, reconnaissable sans doute parmi tous. Au moment où Christine Kelly fait irruption dans ce resto chic du XVe arrondissement de Paris où elle a ses penchants, elle ne passe pas inaperçue, notamment lorsqu'elle s'adresse aux serveurs et aux serveurs. "Comment vas-tu, ma chère? Comment vas-tu, mon frère?" Elle est chez elle là-bas, il faut dire qu'elle vit et travaille à une courte distance (les studios CNews sont extrêmement proches). Souriant, elle passe continuellement du formel au décontracté. S'autorisant, du plus haut de ses siphons vertigineux, une petite pelle ("Alors, comment as-tu pu venir en tennis?") Et faire l'expérience avec le créateur de ces lignes, qu'elle n'avait jamais rencontré: "Bref, dirais-tu tu vas bien, mon petit Alex? "
Discussions de Zemmour
La scène médiatique variée française a connu à différentes occasions une reine Christine: Ockrent, la principale dame à présenter les 20 heures. Peut-être détient-il la deuxième, Christine Kelly, mise au monde il y a 51 ans en Guadeloupe, la principale personne de couleur pour présenter le journal télévisé (sur LCI en 2000) et qui bat aujourd'hui les records de foule de CNews. . Tout en exigeant la délicatesse de sa prospérité: "Tout peut s'arrêter demain. Demain n'a pas sa place chez nous." Avec l'introduction de Face à l'Info, constamment sur CNews, elle a fait un pas en avant dans la réputation. Plus précisément à cause de ses discussions avec Eric Zemmour, qui stimulent l'irritation de quelques-uns et la prime, voire la déférence des autres. Aussi, incitent régulièrement à la discussion, comme lorsque le chroniqueur, le 29 septembre, qualifie les mineurs de passage les «criminels», «tueurs» et «attaquants». Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) rapporte alors les commentaires à l'enquêteur public et le bureau de l'examinateur de Paris ouvre un examen pour «incitation au mépris racial» et «affronts publics de type sectaire».
Ce regroupement en particulier et le programme en règle générale ont fait beaucoup d'encre et ont procuré à l'écrivain la destruction des abus et même, garantit-elle, les dangers de disparition.
Sur le site Arrêt sur photos, Daniel
Schneidermann distribue un livre intitulé "Zemmour et son ouvrier".
"De plus sur le plateau se trouve une dame de l'ombre, Christine Kelly
(chroniqueuse, et ex-individu du CSA), que la chaîne Bolloré, qui n'a pas
besoin d'humour, a reléguée à l'introduction quotidienne de l’émission. Elle
timidement dépêcha le Maître [...]. Et ensuite elle resta là, modeste,
tranquille, pour observer son embarras [...], un spectacle vivant qu'avec un
peu d'arriération et une tonne de pessimisme, on peut jouer avec les règles de
quantité. "
Sur le site Arrêt sur photos, Daniel Schneidermann distribue un livre intitulé "Zemmour et son ouvrier". "De plus sur le plateau se trouve une dame de l'ombre, Christine Kelly (écrivain, et ex-individu du CSA), que la chaîne Bolloré, qui n'a pas besoin d'humour, a désignée pour la présentation quotidienne de l’émission. Elle a envoyé docilement le Maître [...]. Et ensuite, elle est restée là, sans prétention, tranquille, pour observer sa propre mortification [...], une exposition vivante avec un peu d'arriération et une tonne de critiques, nous pouvons jouer avec «On lui rapporte les propos, elle s'en moque:« J'entends ce genre de mots fanatiques et misanthropes depuis que je n'étais pratiquement rien, ça ne me dérange plus. Elle ajoute: "Aurait-il dit cela à propos d'Yves Calvi ou de Laurent Ruquier, qui ont également régulièrement discuté avec Eric Zemmour? Evidemment non! Je ne suis pas son rival, je m'assois. Pourtant, quand suis-je ici? Il faut le faire non. Son adversaire, je m'assois. Cependant, je suis là quand tu dois lui faire comprendre ses pensées, que ce soit quelque chose que je préférerais ne pas entendre. "
"Il est important de ne pas la rabaisser"
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