Prince Albert et Charlene de Monaco : leur grand mariage paradisiaque en 2011

Ce n'est pas le moment où des histoires ont fait surface pour la première fois sur le couple, comme c'était également le cas lors de leur grand jour. Alors qu'ils vantaient leurs onze ans de mariage le 1er juillet dernier, Charlène et Albert de Monaco ont tout récemment connu une année difficile, mise à part par le long manque à gagner de la princesse du Rocher.

 Alors qu'ils se fréquentent depuis 2006 environ, Albert de Monaco et Charlene Wittstock déclarent en 2010, dans une déclaration publique d'autorité, leur engagement. Selon les rapports, leur histoire romantique n'a pas toujours été un long flux tranquille. Un mariage exceptionnellement attendu sur le Rocher, qui se produira un an après les faits, le 1er juillet 2011, à Monaco. Attelés communément, ils se dirent "OK" strictement, le lendemain, dans le patio de la résidence royale du souverain devant de nombreux visiteurs. Lors de leur grand jour, ils ont également fait l'objet de quelques murmures pas vraiment célestes. Et en gardant à l'esprit que de nombreux ouï-dire ont été entendus depuis un certain temps sur leur affection, notamment en raison du long manque de princesse Charlene du territoire, la dernière option étant "coincée" en Afrique du Sud pour traiter un problème difficile. ORL.

Dans ses rubriques, le quotidien britannique avait dépeint Charlene de Monaco quittant la Chapelle Royale "avec une lèvre supérieure tremblante et une larme coulant sur sa joue". Sans doute, même à l'arrivée de leur association, certains signaux ont été décryptés comme des indices avant-gardistes de pression à l'intérieur du couple, comme le détaillait à l'époque The Guardian. Alors qu'elle "essuyait ses larmes avec un mouchoir en papier, le prince Albert lui demanda faiblement : 'Ne pleure pas, ne pleure pas'".

Juste avant le jour de son mariage, les médias français avait en effet révélé que l’ancienne nageuse aurait voulu interrompre les préparatifs de son mariage et repartir en Afrique du Sud, car elle "venait d’apprendre […] que la vie privée de l’homme qu’elle s’apprêtait à épouser […] n’était pas aussi exemplaire qu’elle l’imaginait". Des "mensonges catégoriques" comme l’avait martelé la maman de Jacques et Gabriella, dont les larmes se sont intensifiées lorsqu’elle a réalisé que "le monde entier [l’avait] vu pleurer", et que des rumeurs étaient à prévoir. Heureusement, cela n’a pas entaché les "trois jours si merveilleux" qu’ils ont passés cette année-là.