Pierre Perret : la triste histoire du décès de sa fille Julie à 32 ans, dont l’artiste est encore traumatisé

Pierre Perret lésé par la disparition de sa fille Julie à 32 ans...Ce jeudi 9 septembre, Pierre Perret est accueilli dans La boîte mystérieuse sur France 3. L'artisan fera sans doute un geste pour revenir sur l'un des clichés les plus troublants de sa vie pour survivre : la disparition de sa fille.

87 ans et chacune de ses dents. Indépendamment de son âge avancé, Pierre Perret a en réalité 20 ans. Il respire tellement la joie de vivre et est en forme comme un violon. Aussi son humour éternel est-il apte à faire sourire ses fans du bon vieux temps tout comme les jeunes. Quoi qu'il en soit, l'artisan n'a connu que de joyeuses minutes dans son existence quotidienne. En guise de mise à jour, il a perdu sa fille de tout juste 32 ans en 1995. Un malheur de défaite en famille pourtant qu'il ne faut pas négliger. En effet, même après 26 ans, la personne âgée de 87 ans ne parvient pas à éradiquer ce souvenir angoissant de sa mémoire puisqu'il l'a confié à Alessandra Sublet en 2013 comme l'ont vérifié nos associés ici.

"C'est le choix le plus terriblement horrible qui puisse se produire en présence de quelqu'un et il est généralement si inévitable lorsqu'un choix comme celui-ci s'est produit que nous préférerions ne pas en discuter", a montré qu'il était exceptionnellement ému. Aussi, lorsqu'on perçoit à quel point sa petite fille lui manque, on sent que le sujet sera à nouveau remis sur la table dans l'émission de Faustine Bollaert, La Boîte secrète.

Dans le cas où la mort n'est certes pas un sujet valorisé par tout, cela ne représente pas une inquiétude extraordinaire pour Pierre Perret. Certes, l'artisan n'a pas peur d'aborder le sujet et de discuter de sa propre disparition comme il l'a démontré sur la chaîne Non Stop People. Celui-ci ne demande qu'un seul choisi avant de partir : « J'espère que je finis l'année ! Oui, ça m'agacerait, j'aurais peut-être en tout cas envie de faire Pleyel en octobre ! ".

De même reconnaissant de contempler constamment la fin de sa vie : « Je me lève, je me contacte et je me dis : 'pu *, es-tu toujours en vie ?!' Quand j'avais 15 ans, je me suis dit : 's * tu n'es pas passé sous un train'. J'y réfléchissais généralement, constamment ! D'ailleurs, ça ne veut pas dire que ça te détruit. Le meilleur fléau de la vie, c'est la clarté ".