Ophélie Winter : son témoignage choc sur son enfance, vécu terriblement avec l'amusement de son oncle

 

Venue présenter son histoire personnelle dans l'émission "Quotidien", Ophélie Winter a fait des déclarations choc sur des agressions subis dans sa jeunesse et soumis par son oncle.
Elle n'échappe à aucun sujet.En plus de confidences sur sa vie sentimentale et ses malheurs, Ophélie Winter raconte dans son autobiographie une blessure vécu pendant son enfance.

 De 6 à 16 ans, elle a en effet subi des attouchements de son oncle handicapé ... «J'ai passé ma jeunesse à aspirer à sa disparition depuis qu'il me faisait peur, physiquement, il était vraiment effrayant, il faisait pipi sur lui-même, même son odeur, il fumait trop…, a-t-elle confié lundi dans Quotidien.

Il y a des trucs maintenant que je ressens, ça me souvenir des horreurs de cette époque-là…"

A 47 ans, Ophélie Winter est d'autant plus marquée que cela a dégradé ses relations avec sa maman. 

"C'est encore une bataille avec ma maman (...), parce qu’elle ne m’a pas crue quand je le lui ai dit la première fois. 

‘Maman, Stéphane me touche le zizi’. Et je me suis pris une beigne”. La chanteuse voyait son oncle, alors à la charge de sa grand-mère, lors de ses vacances scolaires.

“Le pauvre, il n’y était pour rien, a-t-elle aussi précisé. Personne ne lui a jamais dit: “c’est mal de faire ça’. C’est ce que j’attendais que ma mère fasse en balançant le truc.

Elle m'a donné une gifle et a dit: «Arrête de mentir, tu es un peu menteuse», pleure la personne qui ne s'adresse plus à sa mère aujourd'hui. 

Ça a duré pendant dix ans. Elle le savait. Ma grand-mère, je ne pense pas qu’elle l’ait su. Je ne pense pas que ma mère lui en ait parlé."

Elle a également raconté le jour où, dans leur maison près de Nîmes, sa maman a étonné son oncle la main dans sa culotte" : "Elle lui a balancé une boîte de brandade de morue dans la tronche et il n’y a pas eu un mot d’explication."

Heureusement,  l'ex-candidate de Danse avec les stars a pu compter sur le soutien d'un autre membre de famille bien plus à l'écoute. “J’en ai parlé à mon frère (Mickael) il n’y a pas si longtemps que ça, il y a maximum dix ans”, confie le symbole des années 90. 

«Il m'a dit: 'Non, je te fais confiance puisqu'il me l'a fait aussi.' Cela m'a calmé. Cela m'a confirmé mon opinion, je ne suis pas folle. J'ai été bricolé toute mon enfance de six à seize ans. "