Jean-Marc Sylvestre guéri du cancer : le journaliste lève le voile sur le sujet, et fait des révélations très intimes

 

Dans son dernier livre diffusé en avril intitulé Tout n'est pas foutu, Jean-Marc Sylvestre découvre qu'il a souffert d'un cancer de la prostate.

Le Parisien a partagé des sélections du livre du journaliste. Un cancer de la prostate que Jean-Marc Sylvestre, a décidé de mettre à l'écart de tout le monde, de sa famille, mais en plus de ses amis et ses associés.

Quinze ans auparavant, le journaliste avait découvert qu'il avait une tumeur maligne de la prostate à un stade initial. Il a alors deux choix : vivre avec la maladie ou se faire soigner.

Le problème, Les médicaments peuvent avoir de lourdes conséquences: incontinence urinaire ou rupture de l'érection.

 "Un ami médecin m'a conseillé:" Tu es jeune, il faut que tu te fasses opérer", précise-t-il dans Le Parisien. 

Sa décision est alors prise. L'écrivain choisit alors d'avoir une opération et part en quête du chirurgien, qui pratiquera son ablation, de celui "capable de m'extraire le crabe, sans abîmer mon fusil de chasse", plaisante-t-il.

Une fois opéré, celui qui a dirigé le service économique de TF1 et L C I, doit faire face à d'autres problèmes : ""Voilà : je ne bande plus. Ma verge est morte, réduite à une vague présence sans vie, sans chaleur, un truc qui pendouille, une peau ridée par où passe l'urine, l'urine et rien d'autre. 

Je n'ai plus de sperme". 

 détaille-t-il, dans Tout n'est pas foutu.

 Cependant, Jean-Marc Sylvestre a enfin fini par retrouver sa libido: "C'était alambiqué, mais cela s'est amélioré après un certain temps, et avec l'âge, mes demandes se sont peut-être encore atténuées".

 Aujourd'hui, le journaliste est complètement guéri, et c'est donc ce moment qu'il a décidé de dévoiler sa maladie ... «L'impossibilité d'en parler s'est traduite par ce livre c'était la seule solution pour me libérer et retrouver confiance en moi".

 explique-t-il.

 Jean-Marc Sylvestre se consacre également à la lutte contre le cancer de la prostate, il souhaiterait que le dépistage de ce cancer soit obligatoire dès 50 ans.