C à vous : le gros malaise de Ludivine Sagnier après une question de Pierre Lescure

 Invitée dans l'émission France 5 ce lundi 22 mars, pour évoquer ses récents projets, Ludivine Sagnier, provoque un moment de malaise lorsqu'elle est interrogée par Pierre Lescure.

Habituellement joviale, l'ambiance sur le plateau de C à Vous, s'est légèrement refroidie le lundi 22 mars. Invitée du spectacle d'Anne-Elisabeth , Ludivine Sagnier ,a eu droit à un moment de malaise avec Pierre Lescure.

 Celui-ci souhaite évoquer le succès de la série Netflix, Lupin dans l'ombre d'Arsène.

 Et maintenant la carrière internationale va continuer, forcément", lance le chroniqueur. 

Pour Omar Sy, c'est sûr", répond l'actrice. 

Puis le silence. 

Est-ce une vraie question, continue-t-elle, visiblement troublée.

Heureusement, Pierre Lescure compense, et Ludivine Sagnier, avoue faire partie du casting d'un feuilleton à succès, tout en pouvant se consacrer à d'autres projets à la télévision, et sur le grand écran. 

Ceux-ci sont pour l'heure, privés de sortie en raison de la fermeture des salles obscures.

 L'équipe de C à Vous, il faut le dire, a l'habitude de déstabiliser ses invités. En janvier 2021, ce n'est autre que le Premier ministre Jean Castex, qui a exprimé son embarras après une question d'Anne-Elisabeth Lemoine. 

Un moment d'inconfort rapidement désamorcé, car Anne-Elisabeth Lemoine, comme ses chroniqueurs, fait tout pour aborder n'importe quel sujet à la légère.

Mais se faire appeler Pascal Praud ne suffit pas pour apporter des images haute tension aux téléspectateurs,

 et un affrontement dans C à Vous, fait désormais partie des annales du service public. 

C'était en mars 2019. Habituellement calme et souriante, Anne-Elisabeth Lemoine a sauté devant Nicolas Dupont-Aignan, qui a violemment attaqué les membres de son équipe. 

En vrai leader, la présentatrice a mis fin à l'entretien avec le leader de Debout la France. 

Une violente altercation qui, encore une fois, était le résultat du direct. "Ce jour-là, rien n'était prévu, et je suis contente d'avoir eu la bonne réaction". a rappelé la principale concernée, trois mois après les faits. 

Une réaction d'une «mère de famille», qu'elle n'a guère regretté.