Michel Drucker paralysé du pied : se confie sur son opération à coeur qui lui a laissé handicap

Accueilli sur le 20h30 le dimanche 25 avril, Michel Druckerr est revenu sur son opération à coeur ouvert en septembre dernier, ce qui lui a laissé une petite débilitation.

Michel Druckerr le garantit, il va mieux. 

Accueilli du 20h30 le dimanche 25 avril, l'animateur de Vivement dimanche est revenu sur sa lourde opération médicale à cœur ouvert endurée en septembre dernier, qu'il décrit dans le livre Ça ira mieux demain. 

et si ses problèmes sont derrière lui,  poursuivre une longue rééducation afin de se remettre totalement de cette intervention qui lui a déjà valu une longue convalescence, mais de laquelle il garde un petit handicap.

En effet sur le plateau de France 2,  il a précisé avoir toujours le pied gauche "qui traîne, qui est un peu paralysé", lui qui a par ailleurs frôlé l'amputation de la jambe droite.

Un petit problème que Michel Druckerr essaye depuis plusieurs mois de résorber, et qui n'est autre, qu'une gêne neurologique au pied gauche avec deux doigts réfractaires. 

avait-il précisé lors d'une précédente interview.

Un handicap pas gravissime pour l'animateur,  mais qui est toutefois gênant pour lui, qui poursuit la rééducation malgré son retour à la télévision en mars dernier dans Vivement dimanche.

 après une convalescence pénible au cours de laquelle il était devenu "un pantin".

Et si la convalescence a été longue pour Michel Druckerr, l'opération elle, n'était pas des plus simples également, alors qu'il a souffert de plusieurs infections.

Une intervention qui dans le pire des scénarios aurait mal tourné, mais qui s'est bien déroulée pour l'hôte de France 2. 

Néanmoins, au cas où cela ne se serait pas passé comme prévu, il avait donné une consigne à ses médecins.

"Dans le cas où ça se passerait mal, vous me débranchez". a donc éduqué Michel Druckerr à son médecin, qui avait dans une précédente interview accordée à Paris Match, évoqué sa peur ... non pas de mourir mais plutôt la "peur d'être un mort-vivant".

 Et ce notamment, parce qu'il redoutait un point essentiel pour lui: "plutôt mourir que de me réveiller sans pouvoir exercer mon métier".