France : pas de fêtes Noël pour les stations de ski
Emmanuel Macron a déclaré que les stations de ski ne reviendraient pas pour les occasions de fin d'année.
Les experts du secteur redoutent une catastrophe monétaire.
"Il me semble difficile de visualiser une ouverture des stations de ski pour les fêtes de fin d'année."
La petite phrase d'Emmanuel Macron, dans son discours de mardi soir sur les modalités du déconfinement, a eu l'impact d'une bombe dans les centres-villes et les lieux de travail des vacanciers des différentes stations de sports d'hiver du pays.
Surpris pour la plupart, Les experts du secteur e tournent déjà vers le printemps pour essayer de sauver la saison.
«Nous sommes incroyablement choqués, c'est une situation à laquelle nous avions absolument pensé mais qui semblait évoluer à l'infini ces derniers temps», précise Frédéric Porte, PDG de Tignes Développement.
Nous nous attendions à avoir des précisions sur les conditions initiales, mais pas une conclusion complète.
A Tignes (Savoie) nonobstant, ce début de saison parle de 13% à 20% de la période du chiffre de l'hiver, et le reste de l'année pourrait encore épargner le mobilier."
Nous avons une saison vraiment longue à Tignes, notamment grâce à la calotte glaciaire qui nous permet d'élargir les exercices jusqu'au printemps, "poursuit Frédéric Porte. Nous concentrerons nos efforts sur la création pour le temps perdu à cette époque".
Sur le territoire de Saint-Gervais (Haute-Savoie), où les deux semaines de vacances de Noël pèsent pour 17% des nuitées totales de la saison d'hiver, l'heure n'est toutefois pas au découragement, nonobstant, ce n'est pas l'opportunité idéale de démoralisation.
«Nous sommes toujours idéalistes en montagne, on est déterminés», explique Didier Josephe, surveillant de Saint-Gervais Mont-Blanc Tourisme.
Il y a sûrement un mécontentement certain, mais quand nous affirmons que les stations sportives de saison plus froide n'auront pas la possibilité de reprendre, ce n'est pas promote à fait vrai : c'est la pratique du ski qui ne sera pas permise.
À Saint-Gervais, nous avons une énorme gamme d'exercices différents, par exemple de l'escalade, des douches chaudes, des exercices sociaux en ville, et ainsi de suite la moitié des individus viennent à Saint-Gervais en hiver et ne skient pas! "
Du côté de Courchevel, en Savoie, le directeur de la station Gilles Delaruelle reconnaît ne pas être "aussi étonné que lorsque la fermeture du head repression, ce qui a pris tout le monde au dépourvu".
Quoi qu'il en soit, toutes les grandes parties de la zone poursuivront leurs conversations avec l'autorité publique pour revenir aussi vite que le temps le permettra.
«Nous ferons entendre nos voix pour revenir», poursuit Frédéric Porte. Nous anticiperons avec inquiétude les subtilités qui devraient apparaître dans les prochains jours.
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